Le sénateur s’est entretenu avec l’ancien président Obama au sujet des UAP !
Max Moszkowicz : Très bien, merci sénateur d’avoir accepté de faire une interview avec moi.
Je m’appelle Max Moszkowicz et je viens d’un tout petit pays, les Pays-Bas, donc pour moi c’est un grand privilège de pouvoir parler au sénateur qui ose aborder le phénomène des UAP, je suis le seul jusqu’à présent à en parler dans mon pays, mais vous savez, on attire l’attention maintenant, alors laissez-moi commencer en vous posant cette question à propos d’une interview de l’ancien président Barack Obama… Il était dans un talk-show avec James Gordon, et il a révélé qu’il connaissait le phénomène de UAP et je me demandais – parce que vous avez des liens étroits avec l’ancien président Obama – avez-vous déjà parlé de ça avec Monsieur Obama ?
Senator Harry Reid : Bien sûr que oui.
Max Moszkowicz : Oui, et pourriez-vous me dire de quoi vous avez discuté avec le président Obama à l’époque ?
Senator Harry Reid : Je pense qu’il serait approprié de dire que nous avons discuté du sujet des OVNIs, et je ne veux pas entrer dans la conversation, je ne pense pas que ce serait juste pour le président. Nous avons eu une bonne discussion, et c’est quelqu’un qui comprend ce que nous essayons de découvrir.
Max Moszkowicz : Oui, euh, dans les interviews précédentes le président a toujours eu une réaction humoristique, euh, il ne l’a pas disqualifié, il a juste fait une blague, je pense que c’était avec Jimmy Kimmel, il a dit que les extraterrestres sont très exigeants, mais maintenant il dit que c’est une chose réelle, nous ne savons pas ce que c’est. Est-ce que c’est toujours le statu quo dans lequel nous sommes maintenant, nous ne savons pas ce que c’est ou est-ce que nous en savons un peu plus ?
Senator Harry Reid : Je pense que nous en apprenons plus tout le temps, mais nous avons encore tellement à apprendre. Ce que nous savons, c’est que nous avons des OVNI et que maintenant, grâce aux nouvelles directives du Pentagone, nos pilotes et nos capitaines de navires divulguent les observations inhabituelles qu’ils font.
Je pense que c’est un grand pas en avant parce que dans le passé, on a fait pression sur eux pour qu’ils n’aillent pas dans ces affaires d’ovnis, mais maintenant, ils font des rapports à ce sujet et je pense que c’est une bonne chose que la transparence à tous les niveaux du gouvernement soit importante, les Américains ont besoin de savoir ce qu’ils ont besoin de savoir.
Je ne pense pas que continuer à mentir et penser que tout ira bien est une solution. Si on continue à mentir et à penser qu’on va s’en sortir, là où on a des problèmes, quand les gens refusent tout simplement d’en parler ou disent que c’est confidentiel. Je crois en la transparence oui.
Max Moszkowicz : Alors maintenant une question quand vous avez eu connaissance de ce phénomène, c’était par la lettre que vous avez reçu de Robert Bigelow ?
Senator Harry Reid : J’en ai entendu parler pour la première fois par un journaliste de télévision de CBS TV à Las Vegas qui m’a dit qu’il y avait une émission aujourd’hui… pourquoi ne pas venir y jeter un coup d’œil ? J’y suis allé et c’est Bigelow qui l’avait organisée. C’était une grande salle de conférence où il y avait beaucoup d’universitaires, beaucoup de gens intéressés et quelques énergumènes.
C’était très ouvert pour moi, il y avait des gens qui voulaient vraiment parler de ça, c’était le début de mon intérêt pour les OVNI, ensuite George Knapp m’a invité à une réunion.
Max Moszkowicz : Sénateur, vous avez été dans le gouvernement pendant longtemps, très longtemps ; étiez-vous au courant de projets comme le projet Grudge, le projet Sign ou Blue Book avant d’avoir été à cette conférence ?
Senator Harry Reid : Oui.
Max Moszkowicz : Ok et quel a été votre sentiment à ce sujet ?
Senator Harry Reid : Alors pour être honnête avec vous ça n’a pas éveillé de curiosité en moi.
Bigelow m’a envoyé un tas de trucs à lire après avoir assisté à cette réunion dans son bureau, j’ai trouvé ça intéressant et ça m’a donné une meilleure connaissance de ce que je ne savais pas.
Max Moszkowicz : Alors qu’est-ce qui vous a convaincu ? Bigelow vous a montré que c’était une chose réelle et que vous deviez continuer à chercher ?
Senator Harry Reid : J’en suis arrivé à la conclusion que nous avons certainement des OVNIs, sans aucun doute. J’ai surmonté cet obstacle, et ensuite je me suis intéressé au nombre d’observations qui ont eu lieu, c’est là que j’ai obtenu l’argent… 22 millions de dollars d’argent du gouvernement pour étudier ça.
Je ne savais pas ce que nous allions trouver. Je pensais des observations de 40, 50 et 60 personnes, mais après l’étude nous avons découvert qu’il y avait des centaines et des centaines d’observations différentes, et elles n’étaient pas faites par un grand nombre d’énergumènes, mais par des gens qui essayaient réellement de découvrir ce qu’ils étaient, et j’ai été impressionné par cela. C’est pourquoi nous avons appris que ce n’était pas seulement quelques personnes qui rapportaient ces choses mais des centaines et des centaines de personnes.
Max Moszkowicz : Oui et était-ce juste des témoignages ou y avait-il des données ?
Senator Harry Reid : Les deux, mais ce qui m’intéressait c’était les observations réelles de personnes qui étaient objectives, pas celles qui faisaient des théories conspirationnistes, c’est-à-dire des gens qui étaient des experts en leurs matières. J’étais impressionné par le fait que les gens faisaient du bon travail scientifiquement, du mieux qu’ils pouvaient.
Par exemple, Helene Cooper du New York Times, m’a appelé et m’a dit qu’elle aimerait faire un article sur le sujet. Je lui ai répondu que si elle cherchait un petit homme vert, je ne pouvais pas l’aider, mais que si elle voulait parler de science, j’étais heureux de le faire.
Elle est restée sur ses positions, elle a parlé de science et c’était le début.
Le New York Times était le journal le plus lu au monde, quand il a commencé à parler du sujet, il est devenu plus crédible pour que d’autres en parlent.
Max Moszkowicz : Monsieur quand vous parlez de science, la science, vous savez que vous avez sous les yeux, euh, de quel genre d’informations parlez-vous, pourriez-vous développer un peu plus ?
Senator Harry Reid : Nous avons maintenant des tonnes de preuves de ces observations. Par exemple, des militaires dans l’un de nos silos à missiles nucléaires dans le Dakota, ils regardent le ciel et il y a un objet qui plane au-dessus d’eux et ce qui est intéressant, c’est que toutes les communications de ce silo à missiles ont été coupées.
Ce sont des faits, et donc c’est le genre de choses qui vous font vraiment réfléchir, parce qu’il y a des objets volants non identifiés et nous essayons de comprendre ce qu’ils sont, et à ce stade nous ne savons pas.
Max Moszkowicz : Oui Monsieur il y a un modèle clair qui est de plus en plus connu, un modèle mondial que ces choses, quoi qu’elles soient, interagissent avec les armes nucléaires dans le monde entier, diriez-vous que c’est une menace nationale, était-ce la raison pour laquelle vous vouliez que le gouvernement …
Senator Harry Reid : …C’est une menace internationale
Max Moszkowicz : Mais le comportement ne semble pas très… comment dire… elles interagissent avec des armes très dangereuses et ne semblent blesser personne ? Sont-ils inoffensifs ?
Senator Harry Reid : Toutes les informations que j’ai, qui sont assez nombreuses, me font dire que je pense qu’il n’y a aucune indication qu’ils soient nuisibles.
Max Moszkowicz : Exactement bien euh Monsieur…
Senator Harry Reid : Un peu effrayant pour être honnête avec vous, mais nous n’avons eu aucune indication qu’ils soient raisonnablement nuisibles…
Max Moszkowicz : Ouais mais ils sont toujours inconnus, et l’inconnu est toujours un peu effrayant …une autre question Monsieur – Il y a quelques comptes rendus comme quoi Lockheed Martin serait en possession de débris extraterrestres. Vous avez essayé d’obtenir ces informations et on vous les a refusées. Pouvez-vous nous en dire plus ? Pensez-vous qu’ils ont des débris extraterrestres ?
Senator Harry Reid : J’ai pensé que s’ils avaient quelque chose, j’aurais voulu le voir, j’ai donc fait les démarches nécessaires pour obtenir l’autorisation, et ils n’ont pas voulu me la donner. Je ne suis pas sûr que ce serait la même réponse aujourd’hui, peut-être que ça le serait, mais je pense que nous avons fait beaucoup de progrès depuis cette époque pour nous assurer qu’il y a de la transparence dans tout ce que nous faisons au gouvernement.
Max Moszkowicz : J’ai une question à propos de cette situation, il semble que l’Humanité avance très vite technologiquement en ce moment, vous savez, et ça accélère vraiment ; pensez-vous qu’il y a une corrélation entre ce que Lockheed Martin pourrait ou ne pourrait pas avoir et nos avancées technologiques ?
Senator Harry Reid : Je pense qu’il n’y a aucun doute que nous avançons dans la technologie dans de nombreuses parties différentes du monde scientifique, et je répète ce que j’ai dit avant je pense que le gouvernement doit être transparent et je ne suis pas sûr qu’ils l’aient été auparavant.
Max Moszkowicz : Ok
Senator Harry Reid : Et je pense que c’est quelque chose que l’Amérique doit faire parce que, comme je l’ai dit, Poutine, qui était à la tête du KGB, avait 30 000 agents qui travaillaient pour lui, donc on sait qu’il s’intéresse à tout ça, on sait que la Chine s’intéresse à tout ça, on sait que la France s’intéresse à tout ça, et je pense qu’on doit rester au courant, en ce qui concerne le gouvernement des Etats-Unis. On ne peut pas laisser passer ça sans faire une évaluation continue de ce qui se passe.
Max Moszkowicz : Monsieur, pourquoi pensez-vous qu’au sein du gouvernement il y a une telle contradiction entre les gens qui veulent être transparents et ceux qui ne veulent pas l’être ? J’ai parlé à M. Luis Elizondo, qui m’a répondu qu’il avait posé la question à un officier supérieur pourquoi on n’enquêtait pas sur cette affaire, et l’homme lui avait répondu « On sait déjà ce que c’est et vous savez que les médias en ont beaucoup parlé ces derniers temps » et il a dit que c’était des démons. (Note : Vous pourriez être intéressé par cet article Les extraterrestres « sont des démons » !)
Est-ce qu’on a une résistance parce que ça dérange la religion, une résistance religieuse ?
Senator Harry Reid : La réponse est un très très grand oui, je pense que notre capacité à faire connaitre au peuple américain ce que nous savons est très en retard, je pense que nous n’avons pas assez de transparence. Vous savez nous avons de grands scientifiques et astrophysiciens ; un homme du nom de Loeb a écrit un livre sur le sujet ces derniers mois.
C’était intéressant, il avait une théorie dans son livre, il a écrit que nous avons eu des messages d’un autre monde. Maintenant je ne sais pas s’il a raison ou s’il a tort mais je pense que c’est bien que nous ayons des gens qui se penchent sur ces questions. Comme je l’ai dit, c’est un astrophysicien et il comprend beaucoup de choses sur la science que je ne connais pas, mais je pense que nous faisons des progrès (Note : Dans le sens, que Loeb ait raison ou pas, au moins des scientifiques n’ont plus peur d’aborder le sujet)
Max Moszkowicz : Maintenant, Monsieur le sénateur, vous êtes l’un des fondateurs du projet AATIP, ou peut-être le fondateur, y a-t-il eu des enquêtes ou des découvertes, les ont-ils partagées avec vous, et avez-vous déjà rencontré quelque chose que vous qualifieriez d’alien ou d’UAP ou quelque chose que vous n’ayez jamais vu auparavant ?
Senator Harry Reid : Non, je n’ai rien vu que je ne puisse expliquer avec mes connaissances scientifiques de base.
Max Moszkowicz : J’ai une autre question, il y a eu beaucoup de projets comme Bluebook, Grudge mais aussi AASWAP et maintenant AATIP, ou le groupe de travail sur les UAP fondé en 2019; se pourrait-il qu’il y ait eu des programmes fonctionnant en parallèle sans qu’ils soient au courant des enquêtes des autres et sans qu’ils ne communiquent entre eux ?
Senator Harry Reid : Ouais la réponse est oui, et c’est un des problèmes que nous avons.
Nous avons besoin de corrélation, nous avons besoin de savoir ce que quelqu’un d’autre fait pour ne pas faire double emploi, parce qu’il y a certainement assez de questions auxquelles il faut répondre et nous n’avons pas besoin de gens qui font la même chose.
Max Moszkowicz : Okay, pouvez-vous me dire pourquoi l’AATIP a dépensé de l’argent pour enquêter sur le ranch de Skinwalker de Monsieur Bigelow ?
Senator Harry Reid : A ma connaissance il y avait un programme dirigé par le gouvernement qui étudiait le ranch de Skinwalker.
Je n’ai pas connaissance d’argent dépensé par AATIP dans ce programme du tout, mais il y a eu Bigelow qui a dépensé beaucoup de son propre argent, pour chercher ce qui se passe au ranch de Skinwalker, mais je suis juste plus intéressé par la science de base que l’étrangeté que certaines personnes ressentent lorsqu’elles vont au ranch Skinwalker. Ce n’est pas mon domaine d’expertise.
Max Moszkowicz : Merci pour cette réponse. Avez-vous une idée de la raison pour laquelle le pentagone vous a refusé l’accès aux éléments de Lockheed Martin concernant les UFO, avez-vous déjà entendu une réponse à cette question ?
Senator Harry Reid : Quelle que soit la réponse obtenue, peu importe la réponse, elle serait mauvaise.
Max Moszkowicz : Si vous conseilliez à un journaliste comme moi, quel sujet devrais-je aborder sur ce phénomène et où devrais-je commencer à faire un effort pour trouver des informations importantes ?
Senator Harry Reid : Je pense que la première chose que quelqu’un qui s’intéresse à ce sujet devrait faire, est de rassembler toutes les informations que vous pouvez trouver sur internet et dans d’autres endroits, et de les utiliser. Et ensuite, après avoir fait ça, découvrir ce qui se passe pour ne pas répéter le passé.
Je pense que c’est un domaine qui convient à un journaliste pour séparer la réalité de la fiction, car beaucoup de ce qui sort sur Internet aujourd’hui, ce sont des théories conspirationnistes et la religion s’en mêle.
Max Moszkowicz : Oui Monsieur et bien dans le passé beaucoup de choses qui étaient disqualifiées, comme occultes ou paranormales, se sont avérées vraies comme le crash de Roswell ou l’incident de Los Angeles en 1942. Pensez-vous qu’il y a des débris de Roswell dans les mains du gouvernement américain ou d’un autre incident avant ou après ?
Note : Il pousse un peu loin le bouchon avec ces crashes d’OVNI, on a aucune preuve que cela s’est produit à Roswell, même si beaucoup de personnes en parlent…)
Max Moszkowicz : Avez-vous déjà été briefé sur un crash avant de recevoir la lettre de Mr Bigelow quand vous travailliez pour le gouvernement américain ?
Senator Harry Reid : Ce que j’ai fait quand j’ai lu cette lettre de l’agence de renseignement de la défense, c’est que j’ai appelé une personne, un physicien diplômé, il était très logique et en gros ce qu’il a dit, c’est « Je sais où en sont les fusées aujourd’hui, je sais comment elles ont commencé, je connais leurs limites, donc je comprends bien le principe de la fusée ; mais ce que je ne comprends pas, ce sont ces objets volants non identifiés ». Et c’est là que nous avons besoin d’être informés, nous devons travailler davantage, et je crois qu’il avait raison.
Je pense que nous devons avancer sur ce sujet et faire tout ce que nous pouvons pour continuer les études ; les intérêts ont été stimulés, les Américains sont curieux, ils veulent en savoir plus et je pense que nous devrions mettre toutes les ressources avec nous et avancer sur ce sujet de toutes les manières possibles.
Il y a beaucoup de travail à faire et le peuple américain mérite de savoir ce qu’on sait et ce que l’on ne sait pas.
Max Moszkowicz : Oui Monsieur, pouvez-vous me parler de l’histoire de feu le sénateur McCain ? Et si vous avez parlé avec d’autres ?
Senator Harry Reid : L’un était John Glenn et on n’a pas parlé pendant une heure; vous savez des petits bouts ici et là, et en gros ce que j’ai dit ce que les jeunes en pensent en ce moment de ces trucs d’OVNI, il a dit qu’il fallait qu’on s’y intéresse .
John McCain était curieux d’en savoir plus, et nous avons parlé de ça un certain nombre de junkies politiques (Note : des politiciens qui ne sont pas du même bord) qui et je pense que si vous pouviez faire en sorte que John et moi-même, politiquement opposés, se mettent d’accord pour parler de ce sujet, c’était bon pour le pays.
Max Moszkowicz : Oui monsieur merci. Maintenant beaucoup d’informations ont été divulguées par le Pentagone pour discréditer Luis Elizondo, et vous avez décidé d’intervenir et de protéger son intégrité, de montrer que Mr Elizondo a fait ce qu’il a fait, qu’est-ce qui vous a poussé à le faire ?
Senator Harry Reid : Je pensais que la façon dont Luis Elizondo a été traité par le Pentagone était horrible, je pense que cela ne montrait pas notre gouvernement sous son meilleur jour, et c’est pourquoi j’ai écrit cette lettre pour montrer qu’il n’était pas une sorte de fou ; c’était quelqu’un qui avait une bonne carrière dans l’armée, il me voyait dans le cadre du travail au gouvernement, et je pense que c’est une personne crédible. Je serai heureux que nous puissions lui donner un peu d’argent pour qu’il puisse continuer à travailler sur le sujet.
Max Moszkowicz : Oui, je pense que M. Elizondo est un homme incroyable. Maintenant, l’inspecteur général est impliqué dans l’enquête en cours par le groupe de travail des UAP. (C’est correct, il fait preuve d’un suivi méticuleux officiel). Pourquoi pensez-vous que l’inspecteur général a décidé de commencer à surveiller et à s’impliquer dans cette enquête ?
Senator Harry Reid : Je pense que ça en dit long sur le gouvernement que nous avons, chaque agence fédérale a quelqu’un comme lui qui regarde ce qui se passe avec le groupe de travail, je pense que c’est une très bonne chose, des gens qui ont le droit de regarder ce qu’ils veulent. Je suis content qu’ils s’intéressent à ce groupe de travail parce que je ne veux pas qu’il dérape, je veux qu’il continue à être incroyable.
Max Moszkowicz : Oui monsieur, l’ultimatum du Congrès va bientôt se terminer, dans moins de quatre semaines je pense. Maintenant, qu’est-ce que vous espérez qu’il en ressorte ?
Senator Harry Reid : Je ne le sais pas, c’est pourquoi je suis content que l’inspecteur général essaye de diriger tout ça pour que quand ça sortira, il y ait un certain degré de détermination de ce qui est examiné, et pourquoi cela devrait être examiné de telle ou telle façon.
Max Moszkowicz : D’accord, quelles sont vos attentes ?
Senator Harry Reid : J’espère que ce qu’ils trouveront sera utile et mettra un point final à tout ça plutôt que de continuer à le retarder. Je pense que ça doit être fait, je pense que si l’inspecteur général est impliqué, le rapport sera bien meilleur.
Max Moszkowicz : Monsieur, il y a un éléphant dans la salle, ce sont les dernières images divulguées par un réalisateur et ami Jeremy Corbell, les vidéos des triangles en mer. (Note : Pitié, on revient sur l’avion…)
Senator Harry Reid : …Maintenant, il y a ces choses qui sont tombées dans l’océan…
Max Moszkowicz : Oui celle-là aussi bien sûr et cette semaine il y a eu une communication – Ou une mauvaise perception à propos d’un de vos commentaires sur cela – Vous avez affirmé que ça pourrait être des drones russes. Etait-ce vraiment ce que vous vouliez dire ou était-ce juste une option ?
Senator Harry Reid : C’était une des choses dont on avait parlé et je l’ai mentionné dans ma réponse. Il y a eu quelques suggestions qu’il y a un tas de drones russes, mais ce n’est que pure spéculation à ce stade.
Max Moszkowicz : Ok monsieur merci pour cette explication. M. Louis Elizondo, dans ma dernière interview avec lui, il a parlé des différentes formes d’avions que l’on remarque dans le ciel, donc vous voyez des triangles, vous voyez des cigares ou des disques.
Mais ils semblent aussi se fondre dans un seul véhicule, et c’est là que vous obtenez un triangle … avez-vous déjà vu ou entendu Luis Elizando vous expliquer ça parce que ça m’a étonné ?
Senator Harry Reid : Oui je pense que son explication est intrigante; je pense qu’on est dans une situation où on essaie de comprendre comment ça peut arriver parce qu’il y en a plusieurs qui sont décrits, le premier avec la forme d’une soucoupe. Oui il y a des indications qu’ils n’ont pas de panache de fumée qui sort de leurs coques, ce sont parfois des lumières brillantes, donc on ne sait vraiment pas ce que c’est, les gens les expliquent de façon indifférente.
Mais on sait que ce sont des objets non identifiés, on sait que ce sont des objets volants et je pense que plus les gens le savent, mieux c’est.
Je le répète pour la quatrième ou cinquième fois dans cette conversation avec vous, nous avons besoin de transparence gouvernementale, nous ne pouvons pas cacher des choses au peuple américain.
Max Moszkowicz : Merci monsieur c’est un honneur et un privilège de vous avoir. Avant de finir cette interview, est-ce qu’il y a quelque chose que nous ne savons pas, que vous pourriez nous révéler à moi et à notre public hollandais et mondial ?
Senator Harry Reid : Je ne pense pas, je pense que chaque jour qui passe nous apprenons un peu plus, je pense que c’est ce qui devrait être et que nous devrions continuer sur cette voie. Avant de quitter l’émission, c’est totalement hors sujet, mais l’un de mes meilleurs amis est hollandais, et on a parlé d’Amsterdam, des ponts et de tout ce qui est fascinant, vous venez d’un grand pays, merci Monsieur, merci…
Max Moszkowicz : Je pense que notre temps est écoulé et je voudrais vraiment vous remercier d’avoir fait ça pour nous, ce fut un honneur et un privilège pour moi, et peut-être que si vous êtes ouverts à ça, on pourra refaire ça un jour, j’ai hâte d’y être, merci.
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