Il est temps pour les dénonciateurs des U.F.O. de montrer leurs cartes
Toledo, le 18 décembre 2023
Il s’agit d’un résumé paru sur le New-York Times écrit par Ross Douthat
Le texte décrit le débat au Sénat américain concernant les Objets Volants Non Identifiés, ou U.A.P. (Unidentified Anomalous Phenomenon). Les sénateurs Mike Rounds et Chuck Schumer ont exprimé leur déception envers la Chambre des Représentants pour entraver la transparence sur les U.A.P. Le National Defense Authorization Act, sur l’initiative de Schumer, prévoyait la création d’une commission présidentielle pour déclassifier les dossiers relatifs aux U.A.P., similaire à celle pour l’assassinat de Kennedy. Cependant, certains représentants républicains ont affaibli cette initiative, la transformant plutôt en un effort de collecte par les Archives Nationales avec un mandat moins fort pour la déclassification.
Le débat au Sénat a oscillé entre le banal et l’étrange, avec des discussions les mythes et des théories du complot sur les U.A.P., ainsi que sur la récupération de matériaux ou restes biologiques liés aux U.A.P. par le gouvernement. Le texte mentionne aussi la tournée médiatique de David Grusch, ancien officier de renseignement de l’Armée de l’Air, dont les affirmations non documentées ont stimulé les efforts actuels de divulgation.
L’auteur du texte espère une clarification sur les U.A.P., pas nécessairement sur leur nature, mais sur la connaissance du gouvernement à leur sujet. Il est sceptique quant à la capacité du gouvernement à garder de tels secrets, étant donné les fuites passées. Toutefois, il reconnaît qu’il pourrait y avoir des secrets encore inconnus, et que les programmes liés aux U.A.P. pourraient être extrêmement confidentiels.
Le moment actuel est considéré comme crucial pour la divulgation de la vérité. Grusch, un lanceur d’alerte, et des législateurs expriment leur intérêt et leur frustration face aux obstructions. Si des preuves documentaires existent, c’est le moment de les révéler. En l’absence de telles révélations, l’auteur restera sceptique sur la plausibilité d’un cover-up gouvernemental sur plusieurs générations. Mais en cas de révélations, il resterait prudent face aux possibilités de tromperie. L’auteur conclut en affirmant que la vérité est essentielle et que le peuple américain est prêt à accepter des vérités étranges.